A Northern Experience: The Journals of Norman Robinson
Commerçant de Fort Good Hope Page 34

Pendant ce temps, j'évaluais ses fourrures; il avait alors l'air complètement détaché. Quand c'était prêt, il se levait et disait ce qu'il voulait échanger.

En commençant par une couverture (qui était étendue sur le sol), il faisait ses achats, plaçant tous les produits sur la couverture. De temps en temps, il demandait combien il lui restait, et quand il ne lui restait que quelques dollars, il donnait une chance à sa Squaw.

La traite ne se faisait pas en dollars ni en cents, mais en « peaux », une peau était une valeur imaginaire de 50 cents. Un article ne valait pas 1 dollar, il valait 2 « peaux ».

On apportait toutes sortes de fourrures et la traite se poursuivait tout l'hiver.

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