A Northern Experience: The Journals of Norman Robinson
Arpentage du Nord Page 29

Ce sont les pauvres chiens qui souffraient le plus. Nous leur donnions tout ce que nous pouvions, mais je crois bien qu'ils avaient faim presque tout le temps.

Un jour, au bout de près de trois semaines sur l'île, un fort vent s'est levé et éventuellement, à poussé la glace en aval du lac, laissant ainsi un passage libre entre nous et la terre ferme. M. Russell et Charlie McDonald ont décidé d'essayer de traverser.

C'était vraiment dangereux, mais ils ont réussi et plus tard, ce soir-là, ils sont revenus avec de la bouffe qu'ils s'étaient procurée à une cabine de trappeurs.

Il y avait très peu pour nous, mais un bon approvisionnement pour nourrir les chiens.

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