A Northern Experience: The Journals of Norman Robinson
Arpentage du Nord Page 30

Le jour suivant, nous avons traversé.

Notre attirail au complet et tout les autres, sauf Charlie McDonald et moi, sont partis dans le skiff.

Ils ont également pris deux chiens.

Charlie et moi devions ramener les chiens qui restaient dans le canot.

Les chiens de traîneau sont habitués à aller en canot et demeurent couchés pendant la traversée; par contre, cette fois, les vagues se brisaient sur le canot et quand un chien devenait mouillé, il se levait pour se secouer. Comme nous étions surchargés et que nous avions du mal à combattre le vent et les vagues, tout ce que nous pouvions faire était de leur donner un petit coup de rame et de leur hurler de se coucher, ce à quoi ils se prêtaient toujours.

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