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En traîneau à chiens
Cinq,
six, et même neuf ou dix familles inuit voyageaient ensemble,
tous leurs effets empilés sur les traîneaux. (I, Nuligak, p. 25)
L'hiver est une saison propice aux voyages, car les rivières
et les lacs sont gelés et la neige recouvre le sol. Les traîneaux
tirés par les chiens se déplacent facilement d'un
lieu à l'autre.
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Ramassage des ufs à Manniliqpik.
(Archives nationales du Canada/172916/R. M. Anderson) |
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Visionner un film d'archives sur l'attelage de chiens Inuvialuit:
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À pied
notre
groupe s'est rendu au lac pour pêcher. Nous nous y sommes
rendus à pied, en transportant nos effets personnels sur
les épaules. (I, Nuligak, p. 25)
Lorsqu'il n'y avait plus de neige au sol, et avant la fonte de
la glace des cours d'eau et de l'océan, les gens se rendaient
à pied dans les terres pour chasser et pêcher. Ils
transportaient leurs effets personnels dans des paquets qu'ils portaient
en bandoulière. Les chiens aussi transportaient des paquets.
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Sculpture sur pierre de May Algona, 1976.
(Collection du CPSPG) |
En bateau
Au
cours de l'été 1926, j'ai pu enfin avoir ma goélette.
C'était un bateau de l'année, flambant neuf, appelé
la Bonnie Belle. Il faisait 40 pieds de longueur, et était
muni d'une machine à feu Francisco Standard de grande puissance.
(I, Nuligak, p. 157)
Les goélettes étaient l'un des moyens de transport
préférés pendant l'été. Elles
étaient équipées de voiles, d'un moteur en-bord
et de cabines qui servaient d'abris.
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La goélette de Nuligak, la Bonnie
Belle, à Aklavik, vers 1940. (Archives des T.N.-O. /N-1990-003-0083)
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Inuvialuit:
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