A Northern Experience: The Journals of Norman Robinson
Arpentage du Nord Page 37

Les préparations pour notre voyage d'été furent bien vite complétées. Bouffe, instruments d'arpentage, fusils, munitions, un gros canot de marchandises de 24 pieds et deux canots de seize pieds, etc., ont été chargés sur la goélette.

Notre groupe original s'était accru d'un dessinateur dont la fonction consistait à cartographier l'arpentage tel qu'il se faisait. Quand tout fut prêt, nous nous sommes mis en route pour le voyage de 200 milles jusqu'à l'extrémité est du Grand lac des Esclaves, là où il y avait déjà eu un poste éloigné de la Compagnie de la Baie d'Hudson, maintenant en ruine.

Notre but était de cartographier le littoral d'une chaîne de lacs, qui avaient une forme de croissant et qui s'enfonçaient dans les terres stériles.

À partir du Grand lac des Esclaves, tout devait être pris à partir du lac Artillery, soit une distance de 11 milles, mais nécessitait de traverser cinq petits lacs, et qui naturellement, comportaient un portage entre chacun d'entre eux, où il fallait tout transporter sur notre dos, y compris les canots.

Voir la page